Danielle Bagnis-Dousset est professeur de lettres. Provençale résidant en région parisienne depuis de nombreuses années pour des raisons professionnelles, elle reste très attachée à sa région, qui a inspiré ses premiers ouvrages : C'qu'il est droit joseph!, Nine la Vaillante, Belloutche. Plusieurs romans suivront dont Dormir, rêver peut-être, Coeur de pierre, C'est de l'eucalyptus qu'on brûle . On y découvre des atmosphères différentes, des décors se partageant entre les superbes paysages de la Côte d'opale et les senteurs de Provence...
Laissez-vous transporter...
Un recueil qui remet les fables au goût du jour. Mijotées «aux petits oignons» par Danielle Bagnis-Dousset,
Sans visa, sans bagage, le recueil vous invite au voyage insolite: imaginaire, onirique, ludique. Poèmes et Nature pour dire le Temps, l’Être, l'Espace
Un thriller psychologique dans le cadre envoûtant de la Baie de Somme.
Une histoire aux senteurs de Provence qui nous plonge dans l'essence amoureuse des années 50.
Sourire, s’émouvoir, découvrir...ou se souvenir: "C’est tout un monde que chacun porte en soi", celui de Belloutche, enfant des années 50, est à partager.
Recueil de nouvelles autour de "l'étrangeté" et du double, ces instants où" le commun devient si singulier."
Exit le 23ème Printemps des Poètes, avec ses passionnants échanges sur le désir, malgré les circonstances sanitaires limitant le nombre des participants.
Ceux-là se sont multipliés et n’en ont été que plus animés, avec des rendez-vous pris pour le 24ème printemps.
Il se profile à l’Horizon de 2022 avec un thème particulièrement adapté à l’époque ;
les Fables de la Bagnette, illustrées par le talentueux François Go, sont disponibles chez
TheBookEditions, elles sont également en dédicace sur le site des conférences.
Il n’arrive que ce que l’on désire ou ce que l’on craint...Craignons peu et désirons
beaucoup.
Pour ouvrir la porte à ce nouveau printemps, un poème, au titre éponyme de l’intitulé de nos rencontres à venir.
L’envoûtant, le fugace et le bel Éphémère
Où la beauté jouit d’un instant éternel,
En bulles effervescentes libérées du réel,
Mémoire infinie, fulgurances d’hier.
Ce Tout qui dit-on lasse, et puis casse et puis passe,
Sil ne vit qu’un moment, émerveille et s’efface,
Dans l’âme subjuguée ouvre une béance
De l’ impérieux besoin, inassouvi toujours,
De passions sans objet, d’extases en errance,
Harmonies de cristal qui pleurent sur la glace.
Les charmes des Fées-mères ont transmuté le plomb,
Le Baiser du Pont Neuf, la jupe qui s’envole,
De star ou d’inconnus pérennisent le rôle,
L’Enfant au yeux trop grands qui souffre sa passion,
Enfermé par un clic dans une boite noire,
Après qu’il ne soit plus, nous interpelle encore.
Cette inconnue qui passe, au «froid regard qui tue»,
Otage du poème, indifférente dort,
Elle attend le lecteur pour prendre son essor.
L’envoûtant, le fugace et le bel Éphémère,
Mémoire infinie, fulgurances d’hier,
De l’or d’éternité cisèle les repères.
Pour étendre le partage, certains de mes livres sont en téléchargement libre sur Editions 999.
Dates et lieux de rencontres à retrouver sur les réseaux sociaux.
A tous ceux, qui séduits par la 1ere et 4eme de couverture ont été déçus en entrant dans un livre, je vous donne rendez-vous sur "Livre et Moi" (lien): un auteur, un livre, un extrait.
Pour être sur du voyage chaque Vendredi 18h00